Une bouffée d’oxygène pour la Maison de la famille du Kamouraska

La Maison de la famille du Kamouraska reçoit 70 000 $ sur deux ans pour lui donner un petit coup de pouce. Un montant dont elle avait bien besoin pour faire du rattrapage et proposer d’autres projets à ses utilisateurs.

Cette aide est ponctuelle. Habituellement, la maison reçoit 63 000 $ par année pour sa mission, puis reçoit du financement par projets de différentes organisations. « Nous devons dépenser les sous avant 2019. Le gouvernement ne nous demande pas de projets spécifiques, mais suggère ce qui touche l’écriture et la littérature », indique Julie Théberge, directrice nouvellement en poste de la Maison de la famille.

Elle prend la relève de Monique Potvin, qui a pris sa retraite à la fin de l’année 2016.

« On prévoit utiliser cet argent pour du rattrapage et pour, par exemple, permettre à des employés qui travaillent quatre jours de le faire pendant cinq jours. Nous avons aussi un projet de halte-garderie, soit possiblement une demi-journée de garderie par semaine pour les parents qui n’ont pas de services de garde », indique Julie Théberge. Un projet de biblio-roulante sera aussi développé.

Projet Pères

La Maison de la famille du Kamouraska a aussi obtenu 25 000 $ du Secrétariat à la condition féminine pour son projet Pères. Le projet permet de favoriser le partage des responsabilités familiales à travers, notamment l’organisation d’activités pour les pères, d’ateliers de stimulation précoce pères-enfants et d’ateliers pour les mères et les pères autour de la dynamique de coparentalité.